Christian Bobin renoue avec la fibre narrative de ses grands livres, Le Très-Bas ou Prisonnier au berceau. Il construit son livre en quinze récits : des portraits d'êtres aimés , des rencontres des figures emblématiques , des visions et une longue lettre à la femme aimée et perdue, « la plus que vive ». Entre ces récits viennent des paragraphes courts, parfois écrits à la main, condensés sur une pensée, fulgurants de profondeur et d'humanité. Un même fil rouge unifie tous ces textes, c'est la voix de Bobin, à nulle autre pareille et son regard de poète qui transfigure le quotidien.
Christian Bobin renoue avec la fibre narrative de ses grands livres, Le Très-Bas ou Prisonnier au berceau. Il construit son livre en quinze récits : des portraits d'êtres aimés , des rencontres des figures emblématiques , des visions et une longue lettre à la femme aimée et perdue, « la plus que vive ». Entre ces récits viennent des paragraphes courts, parfois écrits à la main, condensés sur une pensée, fulgurants de profondeur et d'humanité. Un même fil rouge unifie tous ces textes, c'est la voix de Bobin, à nulle autre pareille et son regard de poète qui transfigure le quotidien.