Dans Paranoïa, le premier volet de ce recueil de nouvelles, Stephen King avait ouvert des brèches dans la réalité de notre quotidien, distillant à la perfection des ambiances fantastiques et oppressantes. Dans cette seconde partie, c'est à nos inoffensifs objets familiers qu'il prête de troublantes et aliénantes intentions. Comme cette machine à traitement de texte, dotée de pourvoirs surnaturels et devant laquelle on ne peut que s'effacer... Ou ce camion conduit par un étrange mais néanmoins zélé laitier, qui vient chaque matin livrer des produits si peu propres à la consommation. Ou encore ce miroir, qui fait apparaître un reflet bien trop évident de notre condition humaine, trop humaine... Partout l'ombre de la Mort plane, maîtresse ténèbreuse et faucheuse du fil tenu de nos vies...
Dans Paranoïa, le premier volet de ce recueil de nouvelles, Stephen King avait ouvert des brèches dans la réalité de notre quotidien, distillant à la perfection des ambiances fantastiques et oppressantes. Dans cette seconde partie, c'est à nos inoffensifs objets familiers qu'il prête de troublantes et aliénantes intentions. Comme cette machine à traitement de texte, dotée de pourvoirs surnaturels et devant laquelle on ne peut que s'effacer... Ou ce camion conduit par un étrange mais néanmoins zélé laitier, qui vient chaque matin livrer des produits si peu propres à la consommation. Ou encore ce miroir, qui fait apparaître un reflet bien trop évident de notre condition humaine, trop humaine... Partout l'ombre de la Mort plane, maîtresse ténèbreuse et faucheuse du fil tenu de nos vies...