L'ame, c'est-a-dire pour Aristote la vie, est ici saisie dans son immanence au corps ou elle s'incarne, et decrite dans les differentes puissances, qui vont de la sensation a l'intellect, en passant par l'imagination et la motricite.Les etudes ici reunies, qui ont fait l'objet de communications et de discussion durant le seminaire 1990-1992 du Centre de Recherches sur la Pensee Antique de l'Universite Paris-Sorbonne, abordent les problemes selon l'ordre de leur surgissement dans le texte et se presentent ainsi comme un veritable commentaire continu du traite De l'ame, fondement de la psychologie et de la noetique occidentales.
L'ame, c'est-a-dire pour Aristote la vie, est ici saisie dans son immanence au corps ou elle s'incarne, et decrite dans les differentes puissances, qui vont de la sensation a l'intellect, en passant par l'imagination et la motricite.Les etudes ici reunies, qui ont fait l'objet de communications et de discussion durant le seminaire 1990-1992 du Centre de Recherches sur la Pensee Antique de l'Universite Paris-Sorbonne, abordent les problemes selon l'ordre de leur surgissement dans le texte et se presentent ainsi comme un veritable commentaire continu du traite De l'ame, fondement de la psychologie et de la noetique occidentales.