François Bon a grandi tout près de l’Océan, en Vendée, dans une zone rurale tout autant tournée vers la mer que vers la terre. Deux mondes qui s’opposent : les grands-parents paternels et le garage familial, les grands-parents maternels, anciens instituteurs, par lesquels viendront les livres. Du milieu des années cinquante aux années quatre-vingt, on passe d’un monde essentiellement rural à une société de technologie, et François Bon suit les traces de cette mutation à travers le prisme des objets : choses désirées de l’enfance ou utiles , objets indispensables ou porteurs de rêves , ceux que l’on se transmet , ceux de métier , et tant d’autres dont la valeur est décrite avec clarté et pudeur. La vie de ces objets finit par dresser un portrait en mosaïque de l’auteur, à la fois sobre et poignant, qui dit entre autres ce qu’est la France modeste, voire pauvre.
François Bon a grandi tout près de l’Océan, en Vendée, dans une zone rurale tout autant tournée vers la mer que vers la terre. Deux mondes qui s’opposent : les grands-parents paternels et le garage familial, les grands-parents maternels, anciens instituteurs, par lesquels viendront les livres. Du milieu des années cinquante aux années quatre-vingt, on passe d’un monde essentiellement rural à une société de technologie, et François Bon suit les traces de cette mutation à travers le prisme des objets : choses désirées de l’enfance ou utiles , objets indispensables ou porteurs de rêves , ceux que l’on se transmet , ceux de métier , et tant d’autres dont la valeur est décrite avec clarté et pudeur. La vie de ces objets finit par dresser un portrait en mosaïque de l’auteur, à la fois sobre et poignant, qui dit entre autres ce qu’est la France modeste, voire pauvre.