Cet ultime volume n’est pas une suite mais un prolongement aux nombreuses rencontres avec les lecteurs qui ont fait naître le désir de faire le point, au-delà du cadre de la Première Guerre Mondiale, sur la matière réelle ayant servi de matrice à cette «fiction d’archive». Une réflexion devenue collective, alimentée pendant les rencontres et restituée dans cet ouvrage collectif par d’autres talents du 9e art : Jeff Pourquié, Vincent Bailly, Edith, Damien Cuvillier, Hardoc.
«Ce livre, écrivent aussi Kris et Maël, devait être le dernier. C’était le moment de rendre, autant que faire se peut, tout ce que nous avons emprunté ailleurs. Et, en premier lieu rendre hommage à tous ceux qui nous ont laissé des traces littéraires ou visuelles de leur expérience durant la guerre. D’ où le désir, après avoir créé ces doubles imaginaires qu’ils ont fortement inspirés, de raconter qui étaient Charles Péguy, Louis Barthas ou l’Anglaise Vera Brittain…»
Parmi donc plus de 350 ouvrages qui lui ont été utiles, Kris a choisi plusieurs témoignages ou biographies, emblématiques de leur influence sur Notre Mère la guerre. Les passant au crible de sa propre histoire personnelle, il a mêlé le récit intime de la création d’une bande dessinée aux destins individuels de ces témoins, acteurs et de l’une des plus grandes crises du XXe siècle.
Cet ultime volume n’est pas une suite mais un prolongement aux nombreuses rencontres avec les lecteurs qui ont fait naître le désir de faire le point, au-delà du cadre de la Première Guerre Mondiale, sur la matière réelle ayant servi de matrice à cette «fiction d’archive». Une réflexion devenue collective, alimentée pendant les rencontres et restituée dans cet ouvrage collectif par d’autres talents du 9e art : Jeff Pourquié, Vincent Bailly, Edith, Damien Cuvillier, Hardoc.
«Ce livre, écrivent aussi Kris et Maël, devait être le dernier. C’était le moment de rendre, autant que faire se peut, tout ce que nous avons emprunté ailleurs. Et, en premier lieu rendre hommage à tous ceux qui nous ont laissé des traces littéraires ou visuelles de leur expérience durant la guerre. D’ où le désir, après avoir créé ces doubles imaginaires qu’ils ont fortement inspirés, de raconter qui étaient Charles Péguy, Louis Barthas ou l’Anglaise Vera Brittain…»
Parmi donc plus de 350 ouvrages qui lui ont été utiles, Kris a choisi plusieurs témoignages ou biographies, emblématiques de leur influence sur Notre Mère la guerre. Les passant au crible de sa propre histoire personnelle, il a mêlé le récit intime de la création d’une bande dessinée aux destins individuels de ces témoins, acteurs et de l’une des plus grandes crises du XXe siècle.