Montesquieu ne se piquait point de théologie et n'entendait rien aux causes finales. Il fait, comme Bossuet, la part très large à la liberté des hommes, à leur choix et à l'action des individus dans l’exécution des affaires ; il reconnaît, comme Bossuet, que les choses vont dans la politique « comme au jeu où le plus habile l’emporte à la longue »
Montesquieu ne se piquait point de théologie et n'entendait rien aux causes finales. Il fait, comme Bossuet, la part très large à la liberté des hommes, à leur choix et à l'action des individus dans l’exécution des affaires ; il reconnaît, comme Bossuet, que les choses vont dans la politique « comme au jeu où le plus habile l’emporte à la longue »