Il faudrait remonter ce livre comme on le fait de la rue Paul Bert. En flânant, la érotisme urbain. Changer de trottoir pour une silhouette, une devanture, un "hello"
On passe ainsi du coq à l'âne, du vinyl à la pierre à fusil, de la ganache aux carottes de Créanes. Il y a là comme une marelle, une association d'idées désordonnées.
Il n'y a ni queue, ni tête. C'est ainsi que parle la rue Paul Bert avec ses accents, à la fois aigus et graves.
Il faudrait remonter ce livre comme on le fait de la rue Paul Bert. En flânant, la érotisme urbain. Changer de trottoir pour une silhouette, une devanture, un "hello"
On passe ainsi du coq à l'âne, du vinyl à la pierre à fusil, de la ganache aux carottes de Créanes. Il y a là comme une marelle, une association d'idées désordonnées.
Il n'y a ni queue, ni tête. C'est ainsi que parle la rue Paul Bert avec ses accents, à la fois aigus et graves.