Dans ce brillant essai publié à Bruxelles du vivant de Magritte, en 1965, et devenu un classique, hélas introuvable depuis une trentaine d'années, Patrick Waldberg s'intéresse à la fois à la genèse de l'oeuvre du peintre et aux principes qui président à son essentielle étrangeté. Cette exploration lui permet d'évoquer quelques-uns des principaux acteurs du surréalisme belge, auprès de qui Magritte a construit l'univers décalé, troublant, qui est le sien, mais qui, à force, est devenu presque évident et normal. Patrick Waldberg traverse ici en " jockey perdu " la forêt de symboles et de signes que le peintre oppose inlassablement à la raison raisonnante et au sens commun.
Dans ce brillant essai publié à Bruxelles du vivant de Magritte, en 1965, et devenu un classique, hélas introuvable depuis une trentaine d'années, Patrick Waldberg s'intéresse à la fois à la genèse de l'oeuvre du peintre et aux principes qui président à son essentielle étrangeté. Cette exploration lui permet d'évoquer quelques-uns des principaux acteurs du surréalisme belge, auprès de qui Magritte a construit l'univers décalé, troublant, qui est le sien, mais qui, à force, est devenu presque évident et normal. Patrick Waldberg traverse ici en " jockey perdu " la forêt de symboles et de signes que le peintre oppose inlassablement à la raison raisonnante et au sens commun.