Dans « Bonheur » plus rien n’échappe au souvenir. Une conscience émerge de tout ce qui appartenu au désir, puis à l’absence.
Une chronologie intense, brisée, de l’adolescence à la vieillesse jusqu’au présent adulte. Une voix intérieure plus chaude que tous les vrais dialogues.
Dans « Bonheur » plus rien n’échappe au souvenir. Une conscience émerge de tout ce qui appartenu au désir, puis à l’absence.
Une chronologie intense, brisée, de l’adolescence à la vieillesse jusqu’au présent adulte. Une voix intérieure plus chaude que tous les vrais dialogues.