Dès les premières semaines de la pandémie, des questions se sont posées auxquelles nous ne savons toujours pas quoi répondre. Que va-t-il rester de ce grand choc planétaire ? Allons-nous en conserver un plus grand souci de l’autre, de la planète ? Saurons à l’avenir mieux prendre le temps ? Et si c’était le rôle de la littérature de tisser des réponses, d’explorer ce que les années pandémiques ont fait bouger en nous, entre nous ?
Ces Récits infectés donnent la parole à des autrices et auteurs qui tentent de prendre la mesure de la crise, de ses aspects tragiques ou comiques, de ses désastres comme des utopies qu’elle a fait naître. Ils se demandent comment elle a agi et continue d’agir sur nous, puis la croise avec d’autres périodes noires, collectives ou plus intimes. Parce que toutes les grandes crises ont une chose en commun : elles révèlent le meilleur comme le pire de l’être humain.
Dès les premières semaines de la pandémie, des questions se sont posées auxquelles nous ne savons toujours pas quoi répondre. Que va-t-il rester de ce grand choc planétaire ? Allons-nous en conserver un plus grand souci de l’autre, de la planète ? Saurons à l’avenir mieux prendre le temps ? Et si c’était le rôle de la littérature de tisser des réponses, d’explorer ce que les années pandémiques ont fait bouger en nous, entre nous ?
Ces Récits infectés donnent la parole à des autrices et auteurs qui tentent de prendre la mesure de la crise, de ses aspects tragiques ou comiques, de ses désastres comme des utopies qu’elle a fait naître. Ils se demandent comment elle a agi et continue d’agir sur nous, puis la croise avec d’autres périodes noires, collectives ou plus intimes. Parce que toutes les grandes crises ont une chose en commun : elles révèlent le meilleur comme le pire de l’être humain.