Dans une écriture abrasive, voici l’histoire d’un jeune homme des années soixante-dix dans un township de Harare, la capitale du Zimbabwe. « La Maison de la faim » est autant sa propre maison où le moindre quignon de pain a valeur d’or, que le symbole de la pauvreté des banlieues d’Harare, l’appétit de vivre et d’apprendre d’un adolescent en colère qui grandit dans un milieu hostile, raciste et d’une extrême pauvreté.
Critique sociale et exploration de soi, audace verbale fulgurante dans ce texte culte pour la littérature anglophone des années 70. Ce roman est considéré comme le départ d’une nouvelle écriture africaine, incisive et visionnaire. La Maison de la faim a reçu le Guardian Fiction Prize en 1979, Marechera est le premier et seul Africain à avoir remporté ce prix.
Marechera , c’est un moment de fulgurance éphémère dans la littérature de langue anglaise. La Maison de la Faim lui a valu d’être lauréat du Guardian Fiction Prize en 1979. Marechera est le premier et le seul Africain à avoir remporté ce prix au cours de ses 33 années d'existence. Etudiant surdoué, il a été exclu des universités pour un comportement jugé peu orthodoxe, il est mort du sida à 35 ans. Pour Doris Lessing, lire l’œuvre de Marechera, c’est entendre un cri.
Dans une écriture abrasive, voici l’histoire d’un jeune homme des années soixante-dix dans un township de Harare, la capitale du Zimbabwe. « La Maison de la faim » est autant sa propre maison où le moindre quignon de pain a valeur d’or, que le symbole de la pauvreté des banlieues d’Harare, l’appétit de vivre et d’apprendre d’un adolescent en colère qui grandit dans un milieu hostile, raciste et d’une extrême pauvreté.
Critique sociale et exploration de soi, audace verbale fulgurante dans ce texte culte pour la littérature anglophone des années 70. Ce roman est considéré comme le départ d’une nouvelle écriture africaine, incisive et visionnaire. La Maison de la faim a reçu le Guardian Fiction Prize en 1979, Marechera est le premier et seul Africain à avoir remporté ce prix.
Marechera , c’est un moment de fulgurance éphémère dans la littérature de langue anglaise. La Maison de la Faim lui a valu d’être lauréat du Guardian Fiction Prize en 1979. Marechera est le premier et le seul Africain à avoir remporté ce prix au cours de ses 33 années d'existence. Etudiant surdoué, il a été exclu des universités pour un comportement jugé peu orthodoxe, il est mort du sida à 35 ans. Pour Doris Lessing, lire l’œuvre de Marechera, c’est entendre un cri.