Dimanche 29 août 1937, à Brest. Un sous-marin républicain espagnol fait surface au milieu des eaux brumeuses, en rade du port militaire. Des réparations sur l’engin sont nécessaires. Sous la houlette de l’affreux Troncoso, un commando franquiste s’organise à toute allure dans le but de conquérir le navire. Proches des phalangistes, ils savent pouvoir s’appuyer sur les fascistes locaux. La belle Mingua leur est associée. Collaboratrice de charme, elle est prête à tout pour optimiser la réussite de l’entreprise nationaliste. Mais les forces de gauche, communistes et anarchistes en tête, sont décidées à faire front et résister. « No pasaràn ! Mort au fascisme ! » Férus de littérature et d’histoire, les auteurs bretons Kris et Bertrand Galic ont écrit ensemble une fiction pour raconter cette histoire mal connue aujourd’hui. Ils se sont appuyés sur l’essai Nuit franquiste sur Brest de l’historien Patrick Gourlay, mais ils ont aussi ranimé les souvenirs des vieux brestois pour écrire au plus près d’une réalité tue, arpentant le port militaire, les rues de Brest et retournant sur les lieux emblématiques de cette bataille mêlant espions, fascistes et extrême gauche.
D'après Nuit franquiste sur Brest de Patrick Gourlay
Dimanche 29 août 1937, à Brest. Un sous-marin républicain espagnol fait surface au milieu des eaux brumeuses, en rade du port militaire. Des réparations sur l’engin sont nécessaires. Sous la houlette de l’affreux Troncoso, un commando franquiste s’organise à toute allure dans le but de conquérir le navire. Proches des phalangistes, ils savent pouvoir s’appuyer sur les fascistes locaux. La belle Mingua leur est associée. Collaboratrice de charme, elle est prête à tout pour optimiser la réussite de l’entreprise nationaliste. Mais les forces de gauche, communistes et anarchistes en tête, sont décidées à faire front et résister. « No pasaràn ! Mort au fascisme ! » Férus de littérature et d’histoire, les auteurs bretons Kris et Bertrand Galic ont écrit ensemble une fiction pour raconter cette histoire mal connue aujourd’hui. Ils se sont appuyés sur l’essai Nuit franquiste sur Brest de l’historien Patrick Gourlay, mais ils ont aussi ranimé les souvenirs des vieux brestois pour écrire au plus près d’une réalité tue, arpentant le port militaire, les rues de Brest et retournant sur les lieux emblématiques de cette bataille mêlant espions, fascistes et extrême gauche.
D'après Nuit franquiste sur Brest de Patrick Gourlay