À la recherche du temps perdu abrite une foule de personnages, depuis le héros omniprésent jusqu’aux silhouettes fugaces d’une mondaine ou d’un valet. Michel Erman est le premier à se pencher exclusivement sur les quelque deux cents êtres de fiction qui peuplent La Recherche. Il les suit tout au long de la narration, et montre ainsi comment, par touches successives, Marcel Proust réussit à donner vie à Gilberte ou Elstir, Odette ou Charlus, Albertine ou Swann...
Puis, de la chambre de Combray aux hôtels particuliers du faubourg Saint-Germain, de la cité balnéaire à la cité des doges, Michel Erman explore l’espace proustien et montre à quel point il ne constitue pas une simple toile de fond, mais comment, au contraire, ces lieux sont lourds de sens. Réels ou inventés, ils font esprit et corps avec les personnages qui les habitent, qui les arpentent ou qui les hantent.
À la recherche du temps perdu abrite une foule de personnages, depuis le héros omniprésent jusqu’aux silhouettes fugaces d’une mondaine ou d’un valet. Michel Erman est le premier à se pencher exclusivement sur les quelque deux cents êtres de fiction qui peuplent La Recherche. Il les suit tout au long de la narration, et montre ainsi comment, par touches successives, Marcel Proust réussit à donner vie à Gilberte ou Elstir, Odette ou Charlus, Albertine ou Swann...
Puis, de la chambre de Combray aux hôtels particuliers du faubourg Saint-Germain, de la cité balnéaire à la cité des doges, Michel Erman explore l’espace proustien et montre à quel point il ne constitue pas une simple toile de fond, mais comment, au contraire, ces lieux sont lourds de sens. Réels ou inventés, ils font esprit et corps avec les personnages qui les habitent, qui les arpentent ou qui les hantent.