à chaque pierre j'ai prêté un nom, et à chaque nom une parole. car la mort du nom donne naisance à la parole, au dire, et à l'écrire. Cela pour retrouver, ici dans la communauté de pierres, universe de l'invisible de sa réalité-mère. car ces noms, ces mort-noms, avaient de leur vivant des paroles qui échappainet au réel.
Le nom d'un mort est l'immédiat de sa mort, il apparaît pour la séparer de son apparence, et la mettre entre parenthèses. Une chose entre paranthèses est chose sans apparence. L'ecriture reste le soutien de son immédiat pour l'emporter à son profond, en lui donnant une troisième dimension, à traverser.
Y.R.
à chaque pierre j'ai prêté un nom, et à chaque nom une parole. car la mort du nom donne naisance à la parole, au dire, et à l'écrire. Cela pour retrouver, ici dans la communauté de pierres, universe de l'invisible de sa réalité-mère. car ces noms, ces mort-noms, avaient de leur vivant des paroles qui échappainet au réel.
Le nom d'un mort est l'immédiat de sa mort, il apparaît pour la séparer de son apparence, et la mettre entre parenthèses. Une chose entre paranthèses est chose sans apparence. L'ecriture reste le soutien de son immédiat pour l'emporter à son profond, en lui donnant une troisième dimension, à traverser.
Y.R.