D’après la croyance populaire, cette hématidrose, quand elle se produisait avec force, annonçait une saison propice et assurait d’avance une abondante moisson ; faible et restreinte, elle prédisait au contraire une grande sécheresse suivie de disette et de ruine. Or les faits avaient toujours donné raison à ce credo.
Au moment de son étrange maladie, gui n’allait pas sans être accompagnée d’un accès de fièvre dont l’intensité le forçait de s’aliter, Pizzighini était toujours épié par un groupe de cultivateurs, et, suivant la quantité de sang exsudé, l’allégresse ou la consternation se répandait de proche en proche dans toutes les plaines de la contrée.
D’après la croyance populaire, cette hématidrose, quand elle se produisait avec force, annonçait une saison propice et assurait d’avance une abondante moisson ; faible et restreinte, elle prédisait au contraire une grande sécheresse suivie de disette et de ruine. Or les faits avaient toujours donné raison à ce credo.
Au moment de son étrange maladie, gui n’allait pas sans être accompagnée d’un accès de fièvre dont l’intensité le forçait de s’aliter, Pizzighini était toujours épié par un groupe de cultivateurs, et, suivant la quantité de sang exsudé, l’allégresse ou la consternation se répandait de proche en proche dans toutes les plaines de la contrée.