En 1929, Virginia Woolf publiait Une chambre à soi, un livre hybride, primordial, entre essai, autobiographie et roman, dans lequel elle défend l’idée que pour écrire, une femme a besoin d’indépendance financière et d’une pièce bien à elle. Elle appelle les femmes à prendre en main leur vie.
De cet espoir d’un avenir meilleur pour les femmes qui écrivent, que reste-t-il près de cent ans plus tard ? Comment se conjuguent maternité et création ? Et on fait comment pour écrire, quand on n’a pas le privilège d’avoir ce fameux lieu à soi, où rêver, penser et écrire ? On se réfugie où pour créer nos fictions, nos poèmes ? Ils ressemblent à quoi, ces lieux à nous ?
En 1929, Virginia Woolf publiait Une chambre à soi, un livre hybride, primordial, entre essai, autobiographie et roman, dans lequel elle défend l’idée que pour écrire, une femme a besoin d’indépendance financière et d’une pièce bien à elle. Elle appelle les femmes à prendre en main leur vie.
De cet espoir d’un avenir meilleur pour les femmes qui écrivent, que reste-t-il près de cent ans plus tard ? Comment se conjuguent maternité et création ? Et on fait comment pour écrire, quand on n’a pas le privilège d’avoir ce fameux lieu à soi, où rêver, penser et écrire ? On se réfugie où pour créer nos fictions, nos poèmes ? Ils ressemblent à quoi, ces lieux à nous ?