Entre détresse et exaltation, la narratrice de Déterrer les os retrace la formation de son identité de rousse, une performance exposant la porosité des frontières entre vérité et mensonge, réel et fiction. Confession paniquée au parfum d'ammoniac, Roux clair naturel témoigne de la difficulté à assumer une identité choisie dans un monde où les faits objectifs ont préséance sur l'expression d'une vérité subjective.
«C'est un sang plus limpide qui se déverse dans mes veines et irrigue mon cerveau, qui se met à voyager jusqu'à mon coeur. Un sang roux, un nectar pur, glorieux.»
Entre détresse et exaltation, la narratrice de Déterrer les os retrace la formation de son identité de rousse, une performance exposant la porosité des frontières entre vérité et mensonge, réel et fiction. Confession paniquée au parfum d'ammoniac, Roux clair naturel témoigne de la difficulté à assumer une identité choisie dans un monde où les faits objectifs ont préséance sur l'expression d'une vérité subjective.
«C'est un sang plus limpide qui se déverse dans mes veines et irrigue mon cerveau, qui se met à voyager jusqu'à mon coeur. Un sang roux, un nectar pur, glorieux.»